Le contraste entre les pestiférés qui se fondent dans le décor oriental et l’uniforme français du général est aussi une manière de mettre en valeur le chef de l’armée. La scène se passe dans une mosquée. À droite, sous deux arcades, cette fois-ci en arc brisé, Napoléon, touche le bubon d'un malade à son aisselle. Lacte devient héroïque lorsque le graveur le représente touchant un pestiféré dans un geste symbolique. Le médecin essuie la lame qui va servir à inciser. En arrière-plan, il y a les murailles de la ville, dont une tour présente une brèche, tandis qu'un drapeau français démesuré flotte au-dessus de la fumée d'un incendie. Dans l’obscurité sont peints les différents stades de la peste. La ville de Jaffa est un des principaux centres marchands de Syrie.Son port peut fournir un abri essentiel pour la flotte. In 1804, there was no question of representing this as other than a daring deed by Bonaparte, but the officer behind Napoleon tries to stop him touching the bubo. ». Le malade aux yeux bandés qui se trouve sur la droite souffre d'ophtalmie en plus de la peste. L'assistant du médecin soutient et bloque le malade pendant l'opération. Alternatively, it could reflect the soldier's regiment (the 32e demi-brigade was one of the French units committed to the Egyptian campaign). To the left, dominated by a typically Egyptian horseshoe arch, a man richly dressed in the oriental manner hands out bread, aided by a servant carrying a bread-basket. À droite, Napoléon touche le bubon d'un malade à son aisselle. Les références à Apollon sont comprises par les personnes de l’époque. اعون در یافا title QS:P1476,fr:"Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa (11 mars 1799) " En arrière-plan, il y a les murailles de la ville. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa est un tableau d'Antoine-Jean Gros datant de 1804, commandé par Napoléon pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte. On 18 September 1804, the painting was exhibited at the Salon de Paris, between Napoleon's proclamation as emperor on 18 May and his coronation at Notre-Dame de Paris on 2 December. Ce tableau a été réalisé en 1804, et exposé pour la première fois le 18 septembre au Salon de Paris. La mise en valeur de Bonaparte se voit très clairement dans cette composition. 3 interactive class activities to energize your online classroom Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa, Département des peintures du musée du Louvre, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bonaparte_visitant_les_pestiférés_de_Jaffa&oldid=175590614, Collection de peintures françaises du Louvre, Page pointant vers des bases relatives aux beaux-arts, Portail:France au XIXe siècle/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. The scene shows Napoleon during a striking scene which is supposed to have occurred in Jaffa on 11 March 1799, depicting then General Bonaparte making a visit to his sick soldiers at the Armenian Saint Nicholas Monastery. La lumière vient du haut, peut-être d’une petite lucarne. La lumière du tableau et le jeu des couleurs mettent en évidence Napoléon Bonaparte. Enfin, le toucher de Bonaparte cherche à montrer qu’il est plein de compassion et qu’il ne sacrifie pas impitoyablement les malades. Ce groupe dit le désespoir quand celui de la lumière représente l’espoir revenu. On peut remarquer trois arcades comme pour le Serment des Horaces à gauche les fils prêtant serment, puis au milieu le père levant les épées et à droite les femmes tristes. ↑ François de Vergnette, « Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa le 11 mars 1799 », sur louvre.fr (consulté le 30 août 2018). The Musée du Louvre (The Louvre) is one of the world's largest museums, and a historic monument. La réalité historique de la scène dépeinte par ce tableau, et en particulier du geste de Bonaparte, est contestée. Desgenettes refused. Problème pour le général Bonaparte, c'est qu'une épidémie de peste s'est déclarée dans l'armée française et que plus d'un millier de soldats en … Cette gravure fait partie d’une série produite par l’imagerie Pellerin[1] sur le thème de l’épopée napoléonienne, des grandes batailles à l’apothéose de l’Empereur. On peut remarquer des motifs orientalisants. Toucher à main nue un bubon n'est pas particulièrement risqué, tous les autres acteurs de la scène courent, nous le savons maintenant, le même risque, celui qu'une puce passe sur eux depuis un malade. En effet, les iconographies religieuses touchent un large public. The sick man with bandaged eyes on the right is suffering from blindness as well as plague. Bonaparte Visits the Plague Stricken in Jaffa (French: Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa) is an 1804 painting commissioned by Napoleon Bonaparte by Antoine-Jean Gros to portray an event during the Egyptian Campaign. Erst beim Eintreffen der Seuche in Jaffa dämmerte es, dass sich der Schwarze Tod unter das Heer der Franzosen gemischt hatte. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa est un tableau d'Antoine-Jean Gros datant de 1804, commandé par Napoléon pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte.La réalité historique de la scène dépeinte par ce tableau, et en particulier du geste de Bonaparte, est contestée. La position centrale, la convergence des lignes dominantes sur Bonaparte, la lumière et les couleurs sont autant d’éléments qui mettent en valeur le général. Le bas du tableau est occupé par des hommes prostrés. L’éclairage de Gros crée l’impression que les hommes placés près du général sont revivifiés tandis que les autres restent plongés dans la pénombre et le désespoir. The massive painting "Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa" ("Bonaparte Visiting the Plague-Stricken in Jaffa") hangs in the main salon of The Louvre in Paris. Cependant, la visite de Bonaparte aux pestiférés est attestée par Desgenettes, mais les faits sont différents : Bonaparte," se trouvant dans une chambre étroite et très encombrée ,[il] aida à soulever ou mieux à porter le cadavre … La bravoure du chef des armées, son devoir de ne reculer devant rien, pas même devant la maladie, s… En-dehors de ce massacre de prisonniers, la ville de Jaffa fut mise à sac, les femmes violées - viol comme arme de guerre, c'est bien connu! Napoleon Bonaparte Visiting the Plague-Stricken in Jaffa by Antoine -Jean Gros Napoleon personally thanked the Armenian patriarch and gifted him with his own tent and sword. Bonaparte Visits the Plague Stricken in Jaffa (French: Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa) is an 1804 painting commissioned by Napoleon Bonaparte from Antoine-Jean Gros to portray an event during the Egyptian Campaign. Au moment où Napoléon Bonaparte devient empereur, cet épisode évoque la tradition de guérison thaumaturgique des écrouelles par les rois de France, qui recevaient et touchaient des scrofuleux afin de les guérir. 1804, Antoine-Jean Gros, sur commande de Napoléon, pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte, peint Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa. In front of him, an Arab doctor is caring for another sick man, while a blind man struggles to approach the general. Il est intéressant de noter qu’Apollon est le dieu qui donne les lois aux hommes mais également le dieu qui provoque la peste et qui peut la faire cesser. Ce tableau représente le général Bonaparte visitant les pestiférés de l'armée française rassemblés dans la cour d'une mosquée qui sert d'hôpital militaire, à Jaffa. Le geste médical est un peu plus à droite du tableau, inchangé depuis au moins le Moyen Âge : c'est l'incision des bubons opérée par le vieux médecin, pour s'en faire écouler le pus, ce qui est inefficace quant au traitement et affaiblit le malade. Originaldatei ‎ (2.763 × 1.972 Pixel, Dateigröße: 1,68 MB, MIME-Typ: image/jpeg). Le 15 novembre 1796, Gros est présent avec l’armée près d’Arcole, où Bonaparte plante le drapeau de l’armée d’Italie sur le pont. Touching a bubo with a bare hand was not particularly risky, since all the other actors in the scene are (we now know) running exactly the same risk of transmission of the disease by fleas. Cette œuvre raconte les événements de Jaffa, ville palestinienne. La scène se passe dans une mosquée. En arrière-plan, il y a les murailles de la ville. Il est accompagné d’un général et du médecin en chef de l’armée, Desgenettes. C'est Dominique Vivant Denon, qui a participé à l'expédition de Bonaparte en Égypte, et qui est devenu directeur du musée du Louvre, qui guide le travail de Gros. 1804, Antoine-Jean Gros, sur commande de Napoléon, pour représenter un épisode de la campagne d'Égypte, peint Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa. Les arcades laissent apparaître au fond la ville de Jaffa, dominée par une tour où flotte le drapeau tricolore; pour ce panorama l'artiste semble s'être inspiré d'une gravure de TICHENY. This is part of the collection of French paintings at the Louvre.[1]. The capture and violent sack of Jaffa by the French army under Bonaparte on 7 March 1799 were rapidly followed by an outbreak of bubonic plague, identified by January 1799, which decimated the army. Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa ... -chef de l'armée d'Orient René-Nicolas Desgenettes interdit de prononcer le mot fatal pour ne pas démoraliser les troupes. De plus, Gros représente Bonaparte dans la position du Christ guérisseur ou d’un roi thaumaturge (au moment du sacre, le roi de France touche les malades pour exercer son pouvoir thaumaturgique, c’est-à-dire de guérison). À gauche, dominé par un arc outrepassé typique de l'architecture arabe, un homme habillé à la manière orientale distribue du pain, aidé par un serviteur qui porte un panier. Problème pour le général Bonaparte, c'est qu'une épidémie de peste s'est déclarée dans l'armée française et que plus d'un millier de … A longstanding question concerning the interpretation of the painting is the significance of the number "32" on the hat of one of the patients. https://www.wikiart.org/.../bonaparte-visiting-the-plague-victims-of-jaffa-1804 La réalité semble assez loin de cette image mythique : le 23 avril 1799, pendant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Bonaparte suggère à Desgenettes, médecin en chef de l'expédition, d'administrer de l'opium aux malades, c'est-à-dire de les euthanasier. L’affaire gène car la version officielle est différente des témoignages britanniques. Since the army's arrival in Egypt in July 1798, several French had suffered serious eye problems due to the sand, dust and extreme light of the sun. Les figures présentes y sont tristes et désabusées : voir ce groupe d’arabes et de soldats à gauche, juste derrière le général. On 23 April 1799, during the siege of Acre, Bonaparte suggested to Desgenettes, the expedition's chief doctor, that the sick should be administered a fatal-level dose of opium - that is, mercy-killed. Ce tableau reprend le même principe que le Serment des Horaces de Jacques Louis David de 1784, conservé au Louvre. The bodies are sick, languishing, and the hero is less heroic for being surrounded by ordinary people.